Afin d’éviter les biopsies contraignantes et parfois inutiles, une équipe française a mis au point un test urinaire pour dépister le cancer de la prostate.
Pour trouver un nouveau moyen de diagnostiquer le cancer de la prostate, Antonin Morillon, chercheur en épigénétique à l’Institut Curie, a décidé de s’attaquer à la partie « cachée » du génome. Un peu comme un iceberg, la recherche scientifique n’a pu caractériser qu’une infime partie du génome, celle qui correspond à la surface. Reste toute la partie submergée dans l’eau, qu’il faut découvrir et comprendre. « Avec mon équipe, nous essayons de caractériser cette face cachée du génome afin de déterminer ses fonctions.
Aujourd’hui, on connait la fonction d’à peu près 1% du génome. Tout le reste fait partie de cette face cachée. Longtemps, on a cru que c’était inerte. Aujourd’hui, nous savons qu’elle sert à quelque chose mais on ne sait pas encore à quoi. »
Découvrez la suite de l’article ICI
Source : sciencesetavenir.fr
Crédit photo : © MICROGEN IMAGES / SCIENCE PHOTO LI / SMD / Science Photo Library / AFP